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    peu de participants cette semaine

    Lady Marianne

    Dame Mauve

    et Missnefer

    Laurent et  Ghislaine trop pris font  un break

    Je dois avouer que je lève aussi le pied mais demain le nouveau mot

     

     


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    Atelier de Christine

     

    Flagorner

     

    Une terreur sans nom s’empare lui. Aucune possibilité de fuite, il recule déjà autant qu’il le peut. La frayeur et l’attaque la jeté au sol et il est là reculant, mais bientôt il se trouve acculé au dos d’un arbre, un oranger, un drôle d’arbre en cet endroit songe t il. L’attaque a été soudaine, il n’a rien vu venir, tout à sa contemplation de sa douce apparition. L’animal gronde, retroussant ses babines et dévoilant des crocs impressionnants effrayants, une simple morsure doit vous être fatale se dit il. Il n’a plus aucune chance, trop tard pour se relever et se mette à courir la bête l’aura rattrapé avant qu’il ne tente quoi que se soit. Apeuré le jeune homme n’ose faire un mouvement, il se tasse sur lui-même espérant diminuer la distance entre lui et la bête qui le tient en respect si près, trop près, à le frôler. Arwen peut se mirer dans les yeux étranges de l’animal, un loup peut être ou un chien sauvage, des prunelles immenses mordorées, une crinière d’un gris perlé peu commun Il sait qu’il doit maitriser sa peur, elle le dessert, suintant par tous les pores de sa peau. Il se souvient des recommandations de sa grand-mère les jours où elle tentait de lui enseigner des bases de survie, les soirs d’orage .Ces jours là étant plus propices pour la communion avec la nature. Elle lui enseignait la flore, l’usage des plantes pour des potions dont seules les femmes de la famille détenaient le secret Une transmission orale de mères en filles, ou parfois à une élue. Arwen s’ennuyait ferme ces jours la et ne cessait de flagorner afin d’être libéré au plus tôt. Ce qui ne marchait pas vraiment, Grand-Ma restait insensible aux flatteries. Elle s’agaçait, soupirait désespérée : - Tu dois apprendre, les peurs engendrent des créatures malfaisantes, Elles te reniflent à mille lieux à la ronde et se repaissent de nos frayeurs, elles s’en régalent, se plongent dans cette fange immonde. De plus la peur te ronge et te détruit de l’intérieur. Elle t’entraine dans le coté obscur et détruit le pouvoir de ton don. Son don depuis quand ne l’avait il pas utilisé ? Il s’en veut soudain et se met à rager intérieurement, il pourrait se tirer de ce guêpier grâce à lui. Pourrait-il puiser au fond de lui cette énergie nécessaire et la canaliser pour l’utiliser à bon escient ? Il devait tenter l’impossible de toute façon il serait mort bientôt

    ©MBCRéas

     

    Épisode précédent

     

    Flagorner

     

    Flagorner


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    Atelier de Christine par interim

    Comme  vous le savez certainement  notre amie Christine  a bien déménagé , peut se connecter désormais mais  s'est trouvée victime d'un petit accident

    Donc pour l'instant en attendant quelle retrouve toute sa motricité je continue à tenir l' atelier

    Chère Christine nous attendons donc ton retour

    et comme tu peux le voir  tes élèves sont bien assidus tu les retrouveras en fome et prêts pour tes nouveaux exercices

    en attendant voici le devoir de cette semaine

    Les lettres :

     

    L R F A O N E G R 

    INDICE :  en rapport avec amadouer

     

     

     


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    Atelier de Christine

     

    des lettres

    un mot

    des mots

    Une histoire

     

    Roquentin

     

    Juliette trinque avec son compagnon un roquentin à la voix de ténor qui vient de lui offrir un verre. La jeune fille audacieuse, vient trainer dans ce bar une fois de plus. Elle ne perd pas de vue son objectif, séduire Stéphane ce jeune trentenaire croisé quelques temps auparavant Juliette, cette belle jeune fille à laquelle les garçons ne résistent pas habituellement , refuse d’être laissée pour compte. Sa vie n’est pas très rose au quotidien, un ennui, une routine indescriptible la pousse à de dangereux comportements. Ses parents trop occupés et fatigués par des querelles permanentes on fini par baisser les bras, renonçant à la mettre en garde contre les périls de la rue. La jeune lycéenne de 16 ans ne peut imaginer que son attitude puisse lui nuire Elle sèche les cours de manière très régulière depuis 2 semaines, venant dans ce troquet dans l’espoir de revoir le beau jeune homme brun Elle se moque comme une guigne du vieil homme qui la reluque avec insistance Juliette porte une jupe très courte qui met en valeur ses longues jambes et un petit top très collant blanc à travers duquel on devine un soutien gorge noir en dentelle. Des jeunes gens rient entre eux, elle leur jette un regard dédaigneux ils parlent d’elle, c’est évident mais elle s’en moque. En outre elle espère atteindre son objectif, attirer l’attention de Stéphane jusque là accoudé au comptoir à quelques pas d’elle sirotant son café. Il hoche la tête, Juliette ignore qu’il se désole de voir une jeune fille se jeter ainsi à la tête des hommes et de celui-ci particulièrement trop âgé pour elle. De plus il le connaît ce roquentin de pacotille, qui se vante d’avoir toujours la trique et de pouvoir toujours niquer fréquemment. Cette vulgarité le dégoute, et il évite toute discussion avec ce vieux pervers. Léonard ce vieillard décati au visage terni par des années de tabagisme actif, ricane comme une truie qu’on égorge. Cette situation l' insupporte ,mais après tout la jeune fille semble apprécier cet olibrius. Stéphane n’imaginait pas que Juliette croiserait à nouveau sa route. Il ignore bien sur que la demoiselle l’a pisté pendant des jours, venant s’asseoir dans cette salle de bar depuis plus d’une semaine. Il consulte sa montre et se décide à partir, un peu contrarié de laisser la gamine, car c’est ce qu’elle est pour lui, avec ce triste personnage. Mais il n’est ni son père, ni son frère non plus. Leonard ses dents de requin toutes dehors dans ce qu’il croit son plus beau sourire, commence à être trop entreprenant et Juliette s’affole, Stéphane ne lui a accordé auquel regard, sa tactique semble vouée a l’échec. Celui-ci sur le point de s’en aller jette un dernier regard sur ce couple insolite et ne peut se résoudre à laisser cette jeune écervelée avec cet affreux bonhomme

    - Çà suffit maintenant lance t il attrapant vivement le poignet de Juliette et la jetant presque de son trône. Game over, on rentre ! Il pousse la jeune fille devant lui laissant tout le monde interloqué.

    © MBCRéas

     

    Roquentin

     

    Episode 1


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    par Missnefer intérimaire de Christine

     

    N - O- R - Q- E- T- I- U -N  

     

    Allez  faites  travailler vos méninges et à vos plumes

     

    Indice : mot ancien veut faire "le béu" comme on dit en Provence

    Bon vous savez pas ce que veut dire faire "le béu " ?

    ben faire le beau


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