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    Je vous propose 10 LETTRES
    nom féminin
    partie d'un costume folklorique grec


    voici les lettres
    A E E U L F S N T L

    si besoin je donnerai un indice
    n'hésitez pas à me le demander-
    un jeu sympa pas un exam -

     

     

    Fustanelle : Jupe blanche plissée. (Le costume officiel était coupé dans 30 mètres de tissu blanc, formé de 400 plis qui symbolisaient 40 0 années de servitude sous l’occupation turque.)

     
    La station de métro Bastille s’avère être, pour Stéphane une de ses préférées, centre stratégique vers d’autres lignes, vue sur la Seine et sa magnifique fresque qui en décore les murs et représentant les différentes étapes de la prise de la Bastille, certainement pour toutes ces raisons à la fois. C’est leur arrêt, Alain habite juste un peu plus bas Rue Biscornet, dans un vieil immeuble auquel ils accèdent par un de ces passages couverts qui font la joie des touristes, celui-ci n’est pas un des plus beaux, mais il possède son propre charme ,le charme de ces allées d’antan. C’est d’un pas leste que le jeune homme les précède, vers la grande porte majestueuse, au bois vieilli et délavé par les intempéries, ornée d’une poignée de porte en forme de main, pas très original, mais comme on en voit beaucoup sur ces anciens immeubles.
    - Vous êtes en forme je suppose, surement même, un inspecteur se doit d’être forcement en bonne santé pour courir après les voyous. L’ascenseur est en panne, il date de Mathusalem, et j’habite sous les combles. Ma grand-mère m’a fait cadeau du dernier étage, avant qu’elle ne succombe à son funeste destin et j’en ai fait mon atelier, une vue imprenable vous verrez.
    Stéphane et Laurie se regardent sans mot dire, chacun à ses propres pensées, trouvant tous les deux, au fur et à mesure des échanges précédents ainsi que de part son allure, que ce jeune homme est assez étrange.
    Un digicode contrôle l’entrée de cette veille bicoque assez délabrée, le jeune homme pousse la lourde porte d’un coup d’épaule, et ils pénètrent dans une magnifique cour pavée, et les bruits de la rue s’effacent pour faire place à un brouhaha assourdissant.
    - Mme de Rembien, adore les fêtes grandioses, il ne se passe pas un jour qu’en n’en organise pas une. Une lutte perpétuelle pour oublier son fils en taule, presque toute l’année. Depuis le jour néfaste ou il agressé cette jeune fille, la sultane c’est son surnom, ne cesse de s’enivrer de réceptions parfois sages, parfois libertines, à son âge c’est assez décadent. Elle ressemble à une fleur fanée, plutôt à une pomme fripée. Rajoute-il en riant. Ah elle vient vers nous, des flutes à la main. Zut elle nous a vus, plus moyen de lui échapper.
    Dans les bruissements des tulles de sa tenue, une femme d’environ soixante quinze ans et frisant l’obésité morbide, certainement létale à long terme, se dirige vers eux d’une démarche lente et incertaine. Elle n’en est certainement pas à sa première coupe de champagne. A ses cotés, un jeune homme à l’allure de sauterelle dans un costume folklorique grec, lisse d’une main la fustanelle portée sur des collants blancs, il ne manque que le pharion, le phermeli, et les fixes chaussettes, pour compléter cet accoutrement. En fond retenti le bruit des casseroles et les cris d’une jeune femme qui réclame la poêle téfal.
    Derrière le couple le plus incongru qui soit, comme déboulant de nulle part, surgit une jeune fille qui semble fuir une nuée d’abeilles virevoltante, en fait juste un groupe de gosses, excités comme des puces, qui lui collent aux basques. Des adultes suivant ce groupe hétéroclite, terminent l’installation de grandes tables couvertes de nappes blanches immaculées et les saluent d’un petit geste amical de la main. Une myriade d’odeurs et de couleurs multicolores assaillent nos deux inspecteurs, surpris par cette avalanche de nourriture, corbeilles de fruits variés, nèfles, fruits exotiques, pêches, prunes raisin… côtoyant des montagnes d’assiettes de pain pita, des mezzés de toutes sortes : houmous, Tzatziki, Ktipiti, poivrons piquillos farcis à la feta , feuilles de vignes…, des plats chauds comme la moussaka, spanakorizo, Spanakópita, Kftedakia, ragout de bamies…et les desserts dégoulinants de miel : baklavas, Loukoumathes , Loukoumades, Kourabiedes, Moustalevria, et d’autres sortes de flans, Loukoum de toutes les couleurs et bien d’autres plats aux noms inconnus et imprononçables pour les jeunes inspecteurs.
    Buffets dressés là au milieu de la cour, tels des autels géants d’offrandes gustatives, ici en plein cœur de Paris, une farandole sucrée, salée.
    Après un désagréable grésillement, la musique du film Zorba le Grec vient envahir cet endroit en vase clos, se répercutant sur les murs de l’immeuble, entre les fenêtres du deuxième étage une homme se penche et déploie un drapeau aux couleurs de la Grèce.
    - Oui les teufs ne manquent pas d’originalité dans cette résidence, souvent organisées au débotté, mais parfois, planifiées avec beaucoup de précision et de faste. J’avais oublié celle-ci. Il faut dire que je n’avais pas prévu de rentrer de si tôt

    Arrivée à leur hauteur, la maitresse de maison , après les avoir examinés de cap en pied, avec une grimace de dégout sur les lèvres, se tourne vers la jeune fille scotchée à l’éphèbe maigrichon en tenue folklorique.

    - Juliette mon petit, voit donc ce que tu peux faire pour çà, lance-t-elle, d’un air dédaigneux désignant les jeunes enquêteurs. Hors de question qu’ils assistent à la fête dans cet …

    - Juliette ? L’interrompt Stéphane en reconnaissant la jeune fille, sous son bonnet à voile, sa jupe longue et le gilet aux broderies chatoyantes, le pendant féminin du costume folklorique de la sauterelle.

    - Salut inspecteur, lance Juliette, avec un petit signe de la main et un grand sourire aux lèvres, visiblement heureuse de cette agréable surprise

    - Un inspecteur à MA  fête, feule Madame De Rembien, seigneur j’en ai la nausée. Par pitié ôtez le de ma vue. Juliette mon enfant, vous connaissez cet homme, vos fréquentations ne sont pas très recommandables, il me semble.

     ©MBCRéas

     

     

     

     

     

    Grece floklore  plus d'ici en suivant le lien

    Cuisine grecque

     

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    Les mots :

     

    Baume, cœur, sincère, complicité,inséparable,briser,tolérance,déception,Solidarité et confiance

     

    Comme on peut le voir à travers ces mots, l'amitié est une très belle chose pour certains et pour d'autres réveille certaines blessures. Pour moi  Amitié c'est un tout

     

    Le texte:

     

    L'amitié

      

    C’est toute en confiance
    Souvent dans la tolérance
    Parfois se joue dans l’absence

    Oublie des rancœurs
    Résonnant dans les cœurs
    Une âme, plus qu’une sœur

    Des instants de joies sincères
    Amis, jamais adversaires
    Souvent rire de concert

    C’est sur mon cœur un baume
    Que tu mets mon binôme
    Pour çà pas besoin de diplôme

    C’est tout en complicité
    C’est juste de la félicité
    Toujours sans ambigüité

    Nul besoin d’être inséparable
    Ce n’est pas si effroyable
    C’est juste envisageable

    Mon cœur ne vient pas briser
    J’en sortirais très épuisée
    A chercher à me mémoriser

    Sortir de cette déception
    Découvrir un monde d’illusions
    Analyser cette incompréhension

    Blessures d’amitié inconsolable
    Ce n’est jamais envisageable
    Et pour toujours inoubliable

    Amour ne survit pas toujours
    Amitié comme l’amour
    Passe parfois son tour

    Déceptions et souffrance
    Manque de temps,  de tolérance
    Mais surtout, belles espérances

    Prise alors , cette belle solidarité
    Songeant , juste perpétuité
    Comme l’on Aime l’Amitié

     

    ©MBCRéas

     

     


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    Faire un texte avec des mots qui vous évoquent l' Amitié

    mots déjà proposés :

    Baume, cœur, sincère, complicité et inséparable

    Allez les copines on a le compte mais on peut aller jusqu'à 10

    et voici 3 nouveaux petits mots proposés par Lady Marianne

    briser-tolérance-déception

    et 2 de plus proposés par Pat

    Solidarité et confiance

    Allez hop on en reste là avec ces 10 mots

    alors allez à vos plumes

     

     

    Thémé l'amitié

     

     

     

     

     

     

     

     


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    Je vous propose 9 LETTRES

      épaississant chez Knorr- ou tissus de soie
    ou poudre de riz de nos grands-mères-
    c'est le même mot féminin-


    voici les lettres

    E E I O N V L U T

     

     

    Le mot :  VELOUTINE

    et les mots :  Évoluent,violent, violente,étoile,vouent,envole,lente, volte, unité, tenue, violée,envie,élite, évite, venue.

    Le texte

     

     

     

    Tandis qu’ils cheminaient vers leur première destination, Arwan s’interrogeait sur la révolution planétaire, impactant sur les jours et les nuits. Ici dans ce monde dans bas tout semblait inversé, les jours plus courts que les nuits, le temps s’égrenant à une vitesse incroyable. Un soleil implacable et violent dans la journée, puis soudain la nuit vous surprenait par son voile de noirceur, vous plongeant dans les ténèbres insondables, une ambiance feutrée, moite et angoissante. Enfin pour eux seulement semblait-il.
    Il percevait les émotions d’Enora bien sur, et ses sentiments d’inquiétude si semblables aux siennes.
    Ils se regardèrent en silence, tentant de se rassurer mutuellement. Devant l’angoisse grandissante de la jeune fille, il lui prit la main, en geste de réconfort, tentant de se rassurer lui-même par ce contact physique. Contact qui une fois de plus les ébranla, comme à chaque fois, des sensations étranges les parcouraient mais cette fois, ils ne rompirent pas le lien. Ils en avaient trop besoin. Trop perdus, pas prêts pour cette aventure, pour cette mission, pour cette responsabilité, qu’ils leur incombaient, ils en ressentaient le poids, si lourd pour leurs frêles épaules de jeunes gens tout juste sortis de l’adolescence.
    Ressaisissez vous les enfants, Ayez confiance en vos dons.
    Grand Ma le répétait comme un mantra. La veille femme ne semblait pas, quant à elle affectée par les bizarreries de ce monde. Dans sa tenue de volutine violette, sa silhouette se fondait dans la nuit sans lune. Et Arwan la devinât plus qu’il ne la vit lorsqu’il fit volte face vers elle.
    Il soupira
    Comment Kadeg peut se diriger dans se tromper ? Il mène l’unité d’une manière si assurée, que j’en suis déconcerté, je fais plus confiance à mon cheval qu’à moi même tellement il fait sombre
    demanda il à sa grand-mère.
    Il suit tout simplement l’étoile du Berger mon grand.
    Qu’elle étoile ? Je n’en vois aucune
    Amaëlle sourit, Arwan le ressentit au plus profond de lui-même, encore une surprise.
    Tu te poses trop de questions et tu ne fais pas suffisamment le vide en toi, et ne parviens donc pas à ressentir les forces de l’univers autour de toi. Maitre Kadeg n’a nul besoin de ses yeux pour voir, c’est au fond de lui que tout ce passe.
    Les hommes de sa tribu, et ce depuis des millénaires, vouent un culte à la déesse Io De père en fils ou fille, l’élite de la caste, ils se transmettent un savoir et un pouvoir immuable. Io fut la première femme à ressentir les forces de l’univers, voir des étoiles qui ne sont visibles que dans le pendant qu’est notre monde. Des étoiles, ici, invisibles pourtant indispensables pour se diriger, et qui leur font défaut. Notre univers est composé de deux pendants, vous connaissez le notre et allez découvrir celui-ci, ils ne peuvent exister séparément, ils se doivent de rester complémentaires, ils évoluent toutefois différemment comme vous le constatez. Ici bien le que le temps s’envole plus rapidement, la modernité n’a pas encore atteint son apogée. De toute manière le progrès ne serait pas utile .Ce serait même plutôt une tuile.
    Tandis qu’ils devisaient en silence, Arwan maitrisait parfaitement cet échange, Enora maugréait frustrée, de ne pouvoir participer à cette conversation. Certes elle ne s’en sentait pas exclue, puisqu’elle l’entendait au fond d’elle, mais elle ne pouvait y participer que de manière courante. Arwan entrainé, possédait désormais une avance sur elle, et elle se sentait comme violée, parce que réciproquement, elle ne parvenait toujours pas à lire en lui. Et elle aurait bien aimé pouvoir accéder à ses pensées, ne serais ce que pour connaitre ses impressions sur cette étrange sensation qui l’envahissait dès qu’ils se touchaient. Ressentait-il comme elle, ces picotements, cette lente progression qui se transformait en douce chaleur qui terminait lovée, au plus profond de son corps ? Ses yeux lui disaient que oui, mais elle souhaitait en savoir davantage Et l’envie de parvenir à son tour, à connaitre toutes ses intimes pensées, fut si forte, qu’une barrière se rompit, et soudainement sans y être préparée, elle s’introduit dans l’esprit d’Arwan d’une manière si violente, que le choc fit chanceler le jeune homme, le jetant à terre.
    - Oh mon Dieu ! s
    ’exclama Enora, ressentant elle-même l’onde de choc
    - Je t’invite à plus de douceur. Évite donc une venue en fanfare, la prochaine fois , on dirait Leone avec ses gros sabots, lança Arwan se relevant et se remettant en selle. C’est assez déstabilisant et douloureux
    rajouta-t-il en se frictionnant les tempes.

     

    © MBCréas

     

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    3 définitions pour Veloutine

     

     


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  • Aujourd'hui petit medley

    Un épisode pour deux ateliers

    9 LETTRES : pour Veloutine et ses mots dérivés :

    Léone, lutin ,lèvent,veloutine, violet, veinule,voutée, velouté,envoute,éveil, étole,voilé

    chez Lady Marianne

    et l'atelier image de chez Bricabook

     

    © Kot

     

     

    Alain Léone, visage de lutin, à l’allure dégingandée, étudiant en dernière année de droit à la Sorbonne, un de ses lèvent tot, surprenant pour un jeune homme de son âge, s’enflammait davantage pour la photographie que ses études forcées. C’est ce qu’il explique aux deux enquêteurs, alors qu’ils font route vers son domicile.
    Il s’emballe tant qu’une petite veinule pulse au creux de son cou, remarque Laurie, qui dévisage inconsciemment cet étrange jeune homme, au look interpellant. Pantalon de veloutine violet sombre, chemise d’un blanc immaculé à jabot, sous un gilet noir, à ses pieds des godillots à lacets Autour de son cou un appareil photo qui doit coûter un bras, se dit Laurie in petto, bien qu’elle ne connaisse rien dans se domaine. Un mélange de modernité et de passé, loin des styles gothiques ou hipster, dernière tendance, entre autres, que l’on s’attend à voir adopter par un jeune homme d’une vingtaine d’années. Alain, c’est évident ne passe inaperçu, dans ce look très anticonformiste, qui se veut être le reflet de sa personnalité. Son regard noir velouté, envoute, se surprend à songer Laurie tandis qu’à son tour le jeune homme la fixe.
    La station de métro est plutôt déserte à cette heure, ils sont donc installés sur les places vacantes sur lesquelles ils se sont glissés, en grimpant dans la rame de métro, Stéphane, en face consulte son téléphone, Alain est assis à droite, tout près d’elle et la dévisage en souriant. Gênée elle détourne le regard, vers les autres passagers. Installée pas très loin, une petite grand-mère voutée, emmitouflée dans une étole grise totalement dévalée, tous ses sens en éveil, lance des regards inquiets autour d’elle, peut être s’est elle trouvée agressée, songe Laurie, ce qui expliquerait son comportement. A coté d’elle, une jeune femme, au regard voilé, comme empli de larmes juste taries, fixe le vide de ses yeux tristes.
    Alain la surprend en se penchant vers elle, ajustant son objectif, et lui murmurant :
    -Vous me semblez très observatrice, vous feriez une excellente photographe. Je devine que vous observez les gens autour de vous, et que vous leur créez des vies, un talent surement en lien avec votre métier. Regardez cet homme qui lit juste en face.
    Laurie tourne son regard vers le vieil homme assis près de Stéphane. Jean délavé et usé, des baskets en toile bleu marine, un caban noir élimé, un visage buriné par le soleil, ancien marin peut être, venu s’échouer dans la capitale ?
    - Regardez ses mains, plutôt souffle Alain. Que vous raconte-t-elles ? Rajoute t-après en avoir ajusté sa prise de manière que l’on ne voit que les mains de l’homme et le livre. Ce cliché sera superbe en N&B ajoute-t-il en se levant et s’approchant de l’inconnu au livre pour lui montrer la photo prise et son autorisation de publication.
    Le vieil homme lève les yeux, des yeux extraordinairement clairs, et vifs. Après un bref échange Alain revient s’asseoir prés de Laurie.
    - Alors où en étions nous ?
    - Soit ce n’est pas la première fois qu’il lit ce roman, vu l’état du livre, soit il l’a acheté dans une bourse aux livres, je pencherais pour cette option, il semble avoir de petits moyens financiers vu  de ses vêtements usés.
    - Ou alors, il n’attache pas d’importance à l’apparence, ni aux biens matériels, l’interrompt le jeune homme. Et je penche qu’il aime lire et relire ce roman, il est tout annoté, je l’ai vu quand je lui ais parlé.
    - Si c’est un livre d’occasion, quelqu’un d’autre à pu le faire ?
    - C’est aussi une éventualité. Bricoleur ou pas ? Poursuit Alain
    Laurie se re-concentre sur les mains.
    - Ses mains sont bien soignées, les ongles courts, pas celles d’un homme vraiment manuel, ce qui est en totale contradiction avec le reste de son apparence. Un maladroit peut être qui s’est soit coupé en bricolant ou en cuisinant. Je pencherais pour une petite coupure de cuisine.
    Le jeune excentrique hoche la tête, leurs avis divergent, et trouve ce débat intéressant, chacun voit ce qu’il veut voir, c’est pourquoi il se passionne pour la photographie, les images saisies sur le vif. Ces scènes de vie quotidiennes, chacun peut les interpréter à sa manière, et rien n’est blanc ni noir.
    - La photo que j’ai prise de la jeune fille, je n’ai pu lui demander son accord de diffusion, elle est partie bien trop vite avec le jeune homme qui l’accompagnait.
    - On le voit sur la photo ?
    Alain hoche la tête.
    - Non, j’ai centré ma prise sur elle, mais peut être peut on le voir sur d’autres cliches de ce  jour là. Mais je pourrais vous aider pour un portrait robot, j’ai une excellente mémoire des visages

     

    ©MBCRéas

     

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    Atelier Lady Marianne et Bricabook

     

     


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