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    Les mots :

     

    Baume, cœur, sincère, complicité,inséparable,briser,tolérance,déception,Solidarité et confiance

     

    Comme on peut le voir à travers ces mots, l'amitié est une très belle chose pour certains et pour d'autres réveille certaines blessures. Pour moi  Amitié c'est un tout

     

    Le texte:

     

    L'amitié

      

    C’est toute en confiance
    Souvent dans la tolérance
    Parfois se joue dans l’absence

    Oublie des rancœurs
    Résonnant dans les cœurs
    Une âme, plus qu’une sœur

    Des instants de joies sincères
    Amis, jamais adversaires
    Souvent rire de concert

    C’est sur mon cœur un baume
    Que tu mets mon binôme
    Pour çà pas besoin de diplôme

    C’est tout en complicité
    C’est juste de la félicité
    Toujours sans ambigüité

    Nul besoin d’être inséparable
    Ce n’est pas si effroyable
    C’est juste envisageable

    Mon cœur ne vient pas briser
    J’en sortirais très épuisée
    A chercher à me mémoriser

    Sortir de cette déception
    Découvrir un monde d’illusions
    Analyser cette incompréhension

    Blessures d’amitié inconsolable
    Ce n’est jamais envisageable
    Et pour toujours inoubliable

    Amour ne survit pas toujours
    Amitié comme l’amour
    Passe parfois son tour

    Déceptions et souffrance
    Manque de temps,  de tolérance
    Mais surtout, belles espérances

    Prise alors , cette belle solidarité
    Songeant , juste perpétuité
    Comme l’on Aime l’Amitié

     

    ©MBCRéas

     

     


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    Faire un texte avec des mots qui vous évoquent l' Amitié

    mots déjà proposés :

    Baume, cœur, sincère, complicité et inséparable

    Allez les copines on a le compte mais on peut aller jusqu'à 10

    et voici 3 nouveaux petits mots proposés par Lady Marianne

    briser-tolérance-déception

    et 2 de plus proposés par Pat

    Solidarité et confiance

    Allez hop on en reste là avec ces 10 mots

    alors allez à vos plumes

     

     

    Thémé l'amitié

     

     

     

     

     

     

     

     


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    Pourquoi n’ais je pas écouté mon instinct. Je n’aurais jamais du ignorer ces signes. Ce picotement qui parcourait ma colonne vertébrale, dès que je les voyais ensemble, ce poids dans l’estomac, cette sensation persistante de malaise Mais comment empêcher Elvira, de fréquenter cet abruti de Ronald, tout auréolé de sa gloire naissante, toutes les filles sont subjuguées par ce mec et son physique de Dieu du stade. Et moi pauvre mec sur la touche, depuis mon accident, je n’ai plus la cote bien sur. Mais qu’elle importance. Je souhaite juste que mon amie de toujours ne me considère pas comme un frère, mais qu’elle voit en moi celui que je suis, un jeune homme qui l’aime, et décrocherait la lune pour elle. Je la décroche déjà, mais elle rit de toutes mes attentions qu’elle trouve touchantes, bien sur.
    Je veille sur elle, depuis que nous sommes hauts comme trois pommes, depuis le jour, ou cet abruti de Ronald, oui ce même Ronald, déjà violent à l’époque l’a poussé du toboggan pour prendre sa place, nous avions 4 ans Je l’ai consolée et offert mon gouter. Le début d’une belle aventure.
    Aujourd’hui à 20 ans, elle me confie, ses peines de cœur, ses secrets les plus intimes, me demande mon avis sur les mecs avec qui elle sort. Mais depuis le début d’année, elle ne tient plus compte d’aucun de mes conseils, j’ai donc cessé de dénigrer les idiots qui lui tournent autour, et je la laisse faire ses propres expériences et surtout j’espère. Et non, je ne désespère pas qu’un jour…
    Ce soir, je me suis tenu sur mes gardes plus que jamais. Elvira était sublime dans sa robe de bal, le haut noir de sa robe vaporeuse, d’un bleu électrique assorti à ses yeux, mettait en valeur sa fine silhouette et sa généreuse poitrine. Ses boucles soyeuses qu’elle avait laissée libres, tombaient en cascade sur ses épaules dénudées, jusqu’au bas de ses reins, une légère ombre à paupières et une touche de mascara faisait ressortir ses yeux bleus qui brillaient d’excitation. J’étais passé chez elle, bien que je ne sois pas son cavalier pour la soirée, elle m’avait appelé une demi-heure plus tot, souhaitant que je sois le premier à la voir, en réalité pour que je la rassure sur sa tenue. Malgré sa beauté et son charisme incontestable Elvira manque de confiance en elle, ce qui m’attriste énormément.
    Elle m’a sourit, de ce sourire ravageur qui me fait fondre, a lissé ma chemise noire, et m’a taquiné sur mon élégance, il serait évident que Louise serait séduite.
    J’ai soupiré
    Ah ma douce, c’est toi et uniquement toi que je souhaite séduire. Mais bien sur je n’ai rien dit.
    J’étais donc là quand Ronald est venu la chercher, j’ai vu le regard concupiscent qu’il a posé sur elle, il n’était pas encore ivre, mais j’ai deviné qu’il avait pris de l’avance. Mon corps a réagit aussitôt, à nouveau ces picotements le long de ma colonne vertébrale, tout sonnait l’alerte, mais je l’ai laissé partir avec ce mec que je déteste le plus au monde. Oui avec le pire mec qu’Elvira s’était choisi comme petit copain jusqu’à ce jour.
    Son choix ! Un très, très mauvais choix de mon point de vue, et les événements le prouvent.
    C’est au bras de son beau ténébreux, qu’elle se rendit donc au bal de fin d’année, soirée où je la rejoignit après être allé chercher Louise.
    Je gardais un œil sur elle, plus que d’habitude, j'avais détesté la manière dont Ronald l’avait reluquée. Pour autant je n'imaginais pas que mes doutes seraient en dessous de ce que Ronald avait prévu.
    Quand j’y songe, je frémis de rage et de frayeur à ce qui aurait bien pu se produire., si je n'étais pas intervenu.
    Pour l’heure, je savoure l’instant présent.
    Elle est là abandonnée dans mes bras, les yeux mis clos, somnolente à cause de la drogue, que ce monstre a glissé dans son verre, une chance que je les ais épiés. Elle a glissé un de ses bras autour de mon cou, son autre main est posée sur ma poitrine, mon cœur bat la chamade, encore plus que de coutume, lorsqu’elle me touche. Son visage est juste à quelques centimètres du mien, je sens son parfum doux et fruité, nos nez se sont frôlés quand je l’ai prise dans mes bras après l’avoir arrachée à ceux de Ronald tout à l’heure. J’aurais pu, je pourrais l’embrasser, ses lèvres douces et nacrées m’attirent. Je rêve depuis si longtemps de gouter à cette bouche tentatrice, franchir cette dernière barrière intime, car je connais tout d’elle, de son corps, qu’elle exhibe devant moi sans retenue, en toute confiance, ses secrets, ses peurs et ses rêves …. Il ne me reste qu’à découvrir la saveur de ses lèvres. Si j’osais.
    Si j’osais ma douce, te révéler à quel point je t'aime , et ce ,depuis si longtemps, si j’osais te raconter  toutes mes propres peurs et mes rêves, ceux que je te tais de crainte de te faire fuir. Parce que je t'aime , ma douce, plus que tout au monde et que mon  plus grand rêve est que cet amour soit partagé.

     

    ©MBCRéas   

     


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    Mots finissant en ce

    et faire un texte

    Mes mots

     

    Vraisemblance, vigilance, violence, puissance, ressemblance, préférence, , importance, impuissance, espace, effervescence, collaboratrice, apparence, adolescence,

     

     

     

     

    Mon texte :

    une suite aux aventures de Stéphane et Juliette

     

    Episode 9

     

    La violence du crime perturbe encore Stéphane, et s’est perdu dans ses pensées qu’il rejoint Laurie qui l’attend accoudée à sa voiture.
    Tout autour c’est encore l’effervescence, comme dans toute scène de crimes. Les badauds tenus à distance, tentent d’entrapercevoir quelque chose, toujours cette curiosité morbide dérangeante pour Stéphane, les journalistes sont là aussi tels des vautours devant l’importance de l’évènement. Un scoop qui fera flamber les ventes ou l’audimat. Stéphane souffre de son impuissance devant ces déballages médiatiques. Et ne parlons pas des relais via les réseaux sociaux. Aujourd’hui tout se partage et surtout le malheur des autres.


    - Eh bien l’affaire prend un nouveau tournant, il semble évident que nous avons affaire à un serial-killer, désormais il marque ses crimes. Je suis sure que ce taré est là quelque part lance Laurie en désignant la foule d’un geste de la main. Et on va repartir dans la guéguerre des services, qui va bien pouvoir hériter de cette affaire maintenant ?


    Stéphane qui vient de s’adosser au véhicule près de collaboratrice soupire.


    - A vrai dire je m’en fiche complètement, l’essentiel est de mettre un terme à ces horreurs, il faut le trouver et vite, avant qu’il ne se trouve une prochaine victime, mais de toute vraisemblance, je suis sur qu’il l’a déjà repérée, voire enlevée, vu le rythme cyclique qu’il suit. Il est déjà monté en puissance. Cinq disparues dans le même quartier, son espace, sa zone de confort très certainement, dont deux retrouvées par hasard. Je pense qu’au départ il a fait du charme aux gamines, puis il les  a violées et tuées pour masquer l’agression. On note une grande ressemblance entre elles, à la fois physique mais aussi il s’attache à leur mode de vie, de préférence des filles en pleine crise d’adolescence, dont les parents sont plutôt absents voire démissionnaires ou complètement dépassés. Il va falloir accroitre notre vigilance. J’ai repéré une gamine, tout à fait le profil, elle suit les cours au Lycée Henri IV , pile poil dans la zone concernée, et traine au bar le Disque Bleu, où je vais régulièrement boire mon café le matin, les jeunes s’y retrouvent avant ou après les cours. En apparence, un petit bar tranquille, y traine aussi une espèce de roquentin, qui se la joue un peu mais me semble bien inoffensif. Notre lascar n’est pas du tout du même acabit, je penche pour un jeune homme d’une trentaine d’années, bonne présentation, certainement un physique de ces acteurs dont les jeunes raffolent, cette nouvelle vague genre ce Ian qui joue un vampire dans cette série super connue dont j’ignore le nom.


    - Vampires Dairies avec Ian Somerhalder, le coupe Laurie, tu lui ressembles un peu d’ailleurs reprend elle


    Stéphane se tourne vers elle, elle sourit et hausse les épaules


    - C’est ce que disent les filles au commissariat et tu n’as pas remarqué comme ma nièce n’arrête pas de te bader ?


    Stéphane secoue la tête, ouvre la bouche mais ne parvient pas à répliquer. Cette discussion est d’un ridicule.


    - Ben quoi Stef, ne fait pas semblant d’ignorer que tu es beau gosse.

     

    ©MBCRéas

     

     

     

     


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    Les mots  :  Tableau, cahiers, récréation, camarades, classe, rentrée, goûter, devoirs, leçons, pupitre

     

     

     Le texte :

     

     Déjà une semaine de passée. Tout le monde a repris  le chemin des écoliers,adultes et enfants. Ces derniers avec plus ou moins la grimace,  retourner en classe , beurk !

     C'est que leçons, devoirs et concentration ,pas facile quand on est plutôt du genre rêveur et que l'esprit toujours en goguette, on  s'évade au moindre mot. C'est ainsi pour Nathan. Il aime gouter à l'évasion Seule la craie , crissant sur le grand tableau noir le ramène à l'instant présent. C'est bientôt  l'heure de la récréation  Ses petits camarades sont tout excités. Ça gigote dans tous les sens. La maitresse tente de rependre le contrôle ,mais les enfants sont deja fatigués  Après deux  mois de vacances, il faut le temps pour se remettre dans l'ambiance et reprendre les rythmes imposés.

    Justine, assise au pupitre à coté de lui, glousse, en lisant le petit mot qu'elle vient de recevoir. Elle se retourne et sourit à Alessandro qui le lui a envoyé. Mme Fabre l'interpelle. Justine cache fébrilement le petit mot entre ses cahiers. Nathan la regarde faire. Sa nouvelle voisine de classe est toute rose, sous l'effet de la réprimande. C'est une jolie fillette de sept ans, blonde comme les blés au soleil, songe Nathan,, (Eh oui c'est un rêveur et un poète  notre petit Nathan) De longs  cheveux blonds , encadre son joli visage en forme de cœur. Elle fronce le nez quand elle rit , et une petite fossette se creuse au niveau de sa joue gauche. Ses yeux sont extraordinairement bleus comme la mer  songe  Nathan en la regardant vraiment pour la première fois depuis la rentrée

     

    ©MBCRéas

     

    Rentrée:  Atelier boite à mots

     

     

     

     

     


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