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    Ghislaine la reprise

     

    Le retour de l'atelier de moi....

    2 Thèmes au choix..

    Même règlement..

    °°°°°°°°°

    Les 10 mots... Patience, défiance, répit, compris, vertu, lisière, cochère, transi, souci, perdu..

    ou

    Un texte avec pour sujet cette photo

     

    J'ai choisi les mots

    et de poursuivre les aventures

    de

     Juliette et Stéphane

    Episode 6


    Stéphane reste surpris quelque secondes, cette fille est incroyable ! Il se demande s’il ne vient pas de commettre une énorme bêtise. Fréquenter une mineure ne lui vaudrait que des ennuis, bien qu’il n’ait en tête que de la protéger. En vertu de quoi se proclame t il son protecteur ?
    Il hoche la tête, il a du perdre la raison, cette affaire de disparitions lui brouille l’esprit. Pourquoi diable pense t il que Juliette puisse devenir la proie d’un ravisseur ? Du pur délire.
    Tout simplement parce quelle correspond au profil des jeunes filles disparues, lui répond sa petite voix intérieure.
    En effet elle leur ressemble énormément : jeunes filles livrées à elles même, de jolis petits minois, brunes, cheveux longs, yeux verts émeraude, avec un petit coté baby doll.
    La dernière en date, disparue depuis une semaine, impossible de la joindre sur son portable dont elle est super accro aux dires de sa famille. Vue pour la dernière fois justement dans le petit troquet d’où il a tiré Juliette, c’est d’ailleurs pour cette raison qu’il y traine s’armant de patience, espérant découvrir des indices. Mais il n’a su attirer que la défiance des habitués par son comportement inquisiteur.
    Ils ont tous compris qu’il n’est pas là que pour boire son café.
    La mélodie de son téléphone le fait sursauter, tout à ses pensées, toujours garé devant la propriété des Bronencourt.
    - Stéphane lui lance la voix de sa coéquipière tu devrais venir nous rejoindre Rue du Bac le plus vite possible.
    - Quelque chose ne va Laurie ? Tu as l’air toute drôle
    - Viens aussi vite que tu pourras, reprend elle d’une voix blanche, je n’ai pas envie de discuter au téléphone.
    Sur ce elle raccroche le laissant se faire du souci pour elle.
    Laurie est une jeune femme énergique, dynamique et volontaire. Tout le monde l’apprécie pour ses qualités humaines mais son statut d’inspectrice et ses talents d’enquêtrice font beaucoup d’envieux au sein de leur petite brigade. Les femmes n’ont pas toujours la part belle dans la police. La concurrence ne leur laisse aucun répit. Elles doivent se battre beaucoup plus que les hommes. Sans compter qu’il leur faut aussi prouver quelles grimpent leur échelons autrement que par la promotion canapé.
    Stéphane n’a pas de temps à perdre, aussi sort t il son gyrophare afin de pouvoir rejoindre la Rue du Bac le plus rapidement possible.
    Comme il est un peu perdu dans ce quartier bourgeois qu’il ne connaît pas il maugrée dans sa barbe. Il lui faut vite se repérer et éviter les bouchons qui se commencent à se former. Aussi allume t il la radio sur ses ondes préférées, les taxis parisiens contribuent à donner une situation en temps et en heure de la circulation, proposant des pistes intéressantes aux automobilistes.
    C’est transi d’inquiétude pour Laurie qu’il parvient sur le lieu de rendez vous. C’est vraiment la première fois qu’il l’a sentie aussi déstabilisée, sa voix peu assurée.
    La Rue du Bac à la lisière de la fôret grouille de monde. Voitures de police portes ouvertes gyrophares clignotants, policiers et civils et agents tentant de maintenir à distance les curieux.
    - Merde, lance Stéphane se garant devant une porte cochère. Tout ce remue ménage ne lui dit rien qui vaille.

     

     ©MBCRéas

     

     

    Atelier de Ghis N°1 de l'année 4

     

     Épisodes précédents


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    Atelier de Ghislaine

     

     

    Exiguë, mangue, divulguer, longuet, guêpier, orgueil
    reléguer, dingue, tanguer, gigue


    Juliette jubile Toutefois elle allait vite déchanter. Stéphane furieux tient la jeune adolescente d'une main ferme. Tant et si bien qu'elle se met à tanguer , tellement le jeune homme la maintient d’une poigne de fer et la tire violement à l’extérieur. Une fois sur le trottoir il la lâche si vite qu’elle manque de tomber. Elle lui adresse toutefois son plus beau sourire, lisse sa mini jupe et s’apprête à ouvrir la bouche quand il l’interrompt brusquement.
    Ses yeux gris verts sont assombris par la colère qu’il sent poindre en lui. Cette jeune écervelée ne semble réaliser dans quel guêpier elle aurait pu tomber c’est évident. Ah cette jeunesse insouciante !
    Juliette, elle, ne pense qu’à danser la gigue, pensant , comme c’est dingue que son plan ait aussi bien fonctionné.
    Elle ne sait rien du jeune homme, ne voit qu’un candidat sur lequel tester ses talents de séductrice. Il est si beau avec son petit air de Ian Somerhalder, dont elle est un inconditionnelle fan.
    Stéphane la ramène sur terre
    - Mais à quoi tu joues ? Tu ne sais pas que c’est dangereux de fricoter avec ce genre d’individus, et encore celui-ci est assez inoffensif , mais tu pourrais tomber sur des hommes très dangereux. Tu devrais être au lycée à l‘heure qu’il est ou chez toi.
    Juliette le regarde toujours aussi subjuguée, elle fixe ses lèvres, et meurt d’envie qu’il l’embrasse. Mais la blonde demoiselle trouve que le temps qu’il se décide est un peu longuet aussi pense t elle devoir prendre les devants.
    Stéphane ne lui en laisse pas le temps, il ne peut divulguer à la jeune fille que l’enquête sur les disparitions de jeunes adolescentes dans le quartier le trouble et qu’il s’inquiète pour elle, devant son comportement à risques.
    Il tente de reléguer au fond de lui , l’image de la dernière victime car Juliette l’ignore , Stéphane est inspecteur à la criminelle.
    - Donne moi ton adresse je te raccompagne chez toi.
    Juliette prend sa mine boudeuse et croise les bras sur la poitrine. Il ne se débarrassera pas de moi comme çà , se dit-elle in petto
    Planté devant elle Stéphane les mains sur les hanches commence à s’agacer, il n’a pas que çà à faire jouer les nounous pour cette petite dévergondée
    - Alors tu habites dans le quartier ?
    - Non je vais juste au Lycée Henri IV ici, je prends le métro pour venir.
    Stéphane soupire désespéré.
    - Bon on va prendre ma voiture elle est juste là, tu me m’indiqueras la route et tout de suite,  sinon je te signale aux mœurs pour racolage sur la voie publique.
    Juliette le regarde éberluée
    - Tu, tu es flic bredouille t elle
    - En effet jeune demoiselle
    Il la pousse devant lui jusqu'à son Austin mini, déverrouille la portière et l’aide à s’installer.
    Dans le petit habitacle exiguë l’air sent la mangue se qui surprend Juliette.

    Episode 1         Episode 2

     


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    Anniversaire, année, printemps, amies, blog, aide, amitié, rencontre, solidarité, atelier.

    °°°°°°°°°°°

     

    Ou un texte comportant 12 mots finissant par ide

     

     Pour cette fois  je choisi le premier thème

     

    Atelier 52

     

    Petite nouveauté ,j'avais déjà écrit ce texte , j'y ai rajouté les mots

     

    Atelier 52

     

    Juliette dévisage Stéphane à la dérobée, le silence s’est installé dans la petite voiture depuis qu’ils se sont glissés dans le flot continu des voitures.
    Juliette sait que dans une vingtaine de minutes elle sera chez elle.
    - je n’arrive pas à croire que tu sois flic lance t elle. Tu es bien trop beau
    Stéphane éclate de rire et lui jette un regard rapide en se concentrant sur la circulation plutôt dense à cette heure
    - Ah bon ? Drôle de réflexion, beau et flic çà va pas ensemble dans ta petite tête ? Soit dit en passant j’apprécie que tu me trouves beau mais la n’est pas la question
    Tes parents savent ils que tu traines dans les bars et te laissent sortir dans cette tenue indécente et provocante ?
    Juliette se regarde et hausse les épaules
    - Mes parents s’en fichent, je n’existe pas pour eux. Je sortirais nue qu’ils ne le remarqueraient pas tellement occupés par leur boulot. Maman passe son temps dans son atelier de sculpture et mon père ne vit que pour ces œuvres caritatives, la solidarité, le temps c’est indispensable pour ces pauvres malheureux, moi je suis une chanceuse alors ..
    Stéphane soupire songeant à toutes les familles éplorées qu’il a rencontré dernièrement. Des histoires similaires, des parents très pris par leurs occupations ne remarquant aucun changement chez leur fille, cette petite fille si sage dans leurs esprits, des jeunes filles qui ne se contentent pas de blogs sur la toile. Aujourd’hui effondrées elles les harcèlent régulièrement pour avoir des nouvelles, les tannent avec des : mais que fait la police, incapable de retrouver ma fille !
    C’est peut être pour çà qu’il veut faire quelque chose pour cette gamine avant qu’un drame n’arrive, un peu d’aide pourrait lui être profitable
    - Tu te drogues ?
    - Ca va pas lui répond Juliette indignée
    Stéphane la regarde et sourit
    - C’est très sage, mais tu cours de réels dangers avec tes tenues provocantes, certains pourraient penser que tu es consentante et t’entrainer plus loin.
    Juliette éclate de rire
    - Tu crois que je n’ai jamais couché avec un garçon ?
    Vraiment cette gamine est énervante ne voulant rien comprendre.
    -J’ai une vie sexuelle très active reprend elle pour le narguer et ce depuis le jour de mon anniversaire, un beau cadeau pour mes 16 ans
    -Je n’en doute pas grommèle t il entre ses dents. J’espère que tu te protèges au moins. Le sida de nos jours...
    Juliette l’interrompt
    -Ben t’es pas drôle avec tes leçons de morale. J’espérais autre chose avec toi lance t elle en le regardant avec insolence.
    - Tu penses que je vais me contenter d’amies virtuelles, de rencontres sur internet?
    Stéphane soupire découragé, c’est carrément mission impossible.
    - j’ai une idée, si tu veux on va faire connaissance pendant quelques temps, je viendrais te chercher au lycée, mais pour çà plus d’école buissonnière et une tenue plus… classique, enfin de ton âge. Je te propose mon amitié si tu veux bien
    C’est une idée qui vient de lui passer par la tête jouer au grand frère et lui faire passer le message
    Juliette tape des mains comme une petite fille juste sortie de l’adolescente quelle est.
    Ils viennent de se garer devant chez elle, le portail est ouvert et laisse entrevoir une belle et grande demeure très bourgeoise
    Surpris Stéphane demande :
    - Tu habites vraiment ici ?
    - Ben oui Au fait je m’appelle Juliette De Bronencourt .Et toi ?
    - De Bronencourt comme Aurélie de Bronencourt ?
    - Oui c’est une de mes cousines, enfin depuis quelle a épousé mon cousin par alliance l’année dernière, tu la connais ?
    Stéphane se rembrunit, quelle histoire. Alors qu’il vient de tourner la page avec Aurélie, la vie lui joue un drôle de tour
    - Oui je crois répond il en se reprenant Moi c’est Stéphane Dubreuil, enchanté de faire ta connaissance Juliette

     

     

    ©MBCRéas

     

    Atelier 52

    Episode 1    

    Episode 2

    Episode 3


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  • Atelier de Ghislaine

     

     

    Les 10 mots seront ; Blanche, vaillant, lance, compromis, balance, légion, planète, diffuser, flâneuse, clapotis.

    °°°°°°°°°°

    Ou faire un texte qui s'appelle un Lipogramme

    Texte sans la lettre H dans le récit !

     

    Bon pour le lipogramme on verra plus tard

     

    Atelier 50 Ghislaine

     


    Blanche comme un linge, Lucille balance la photo sur le bureau comme si elle lui brulait les doigts.
    - C’est impossible, impossible, je me souviens bien de la période ou elle a été prise, je ne suis pas revenue dans cette chambre depuis
    Elle se torture le cerveau, qui va donc pouvoir répondre à ses questions
    Sa mère n’est plus très vaillante, et les habitants de cette maison ne sont pas légion.
    Une angoisse diffuse l’envahit, non Adrian est là bas de l’autre coté de l’océan, elle en est sure, oui mais les distances à parcourir sur la planète de nos jours ne sont pas si grandes.
    - Non il ne peut pas m’atteindre il est en prison lance t elle haut et fort pour se rassurer mais elle n’en est pas si sure au fond d’elle.
    Il lui faut en avoir le cœur net, .Aussi reprend t elle la photo après tout peut être sa mère pourrait savoir.
    Elle rejoint sa mère dans le jardin qui descend en pente douce vers la plage. Cet espace aménagé est son endroit préféré, le doux clapotis de l’eau l’apaise, elle une grande fan de mer, de soleil, une grande nageuse autrefois, c’est pourquoi elle aime venir s’étendre dans un transat à l’ombre et sentir la fraicheur marine sur son visage.
    Elle n’est plus non plus, la grande flâneuse d’autrefois, chaque pas lui coûte, elle le déplore, comme elle aimait déambuler le soir dans son magnifique jardin, humer le doux parfois des roses.
    Aujourd’hui Martine son infirmière a trouvé un compromis, tous les jours elle dépose dans le petit boudoir un bouquet de se roses odorantes, ainsi Mireille peut profiter de ses fleurs les jours ou son état ne lui permet pas de sortir.
    Lucille est toute embarrassée, elle ne sait comment faire, la photo à la main elle reste là quelques secondes à contempler sa mère endormie, son cœur se serre en songeant que bientôt elle va les quitter. Elle est furieuse aussi contre Adrian qui lui a volé sa vie.
    Comme sentant sa présence Mireille se tourne vers son enfant et lui sourit, ses yeux se portent sur la photo.
    - Ah ou l’as-tu trouvée ?
    - Dans ma chambre pourquoi, comment est elle arrivée là?
    - Ce doit être ton père qui l’y a mise après que je sois rentrée à l’hôpital.
    - Maman je n’avais pas revu cette photo depuis 7 ans au moins et ce n’est pas moi qui te l’ai envoyé
    - Je sais ma chérie c’est lui, la semaine dernière, avec un petit mot disant que tu allais rentrer.
    Lucille trop abasourdie pour répondre se laisse choir sur le transat à coté de sa mère, la photo tombe sur la pelouse , le vent la fait virevolter et se retourner.
    Lucille est tentée de la laisser emporter par la brise marine mais des lettres à son dos attirent son regard, elle la reprend et lit : Tu m’appartiens
    Elle frissonne, sa mère lui prend la main.
    - Aide-moi à rentrer, je suis fatiguée. Et n’ai pas peur, il ne peut te plus rien te faire
    - Tu ne sais rien maman c’est un monstre très puissant.

     ©MBCRéas

     

    Episode précédent

     

    Atelier 50 Ghislaine

     

    Barre Babouchka


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    Les mots ou l 'image

     

     

    Sécheresse, point, signe, fameuse, balbutier,
    Feuilleter, voûté, défait, adresse, personnel.
     
     
    Pour moi ( avec du retard pour cet atelier)   les 2
     
     

    Atelier de Ghislaine

     
     
     
    Vadim et Isabelle épuisés se reposent sur le banc. Ils viennent de terminer leur jogging matinal
    C’est un été caniculaire. Mais ici dans ce magnifique parc aucun ne signe de sécheresse
    Malgré l‘ heure matinale, peut être même pour cette raison, un petit couple âgé, très âgé même, s’en est venu à tout petits pas hésitants s’asseoir sur un banc.
    Isabelle les voit souvent venir faire leur promenade en ces lieux, lui tout vouté avec sa petite canne et elle des gestes tremblotants (un parkinson surement se dit Isabelle) un gros sac de toile à son bras.
    Aujourd’hui ils sont assis là, face à eux de l’autre cote de l’allée.
    Monsieur feuillette un livre et madame défait avec application un ouvrage au tricot posé sur ses genoux.
    Un petit chien noir, un fox terrier gambade autour d’eux et vient s’asseoir pratiquement sur les pieds de la veille dame
    Ils se regardent parfois et Isabelle sent vibrer entre eux cette fameuse communion entre deux êtres, signe d’un amour profond que le temps n’a pas point altéré
    Puis la petite mamie range son tricot et sort un thermos de son grand cabas. Elle se sert une tasse d’un breuvage fumant, du thé surement, son époux la regarde faire et dépose un petit baiser sur les tempes.
    - Isa tu es ailleurs, on rentre ? Qu’est ce que tu regardes ?
    -Le couple la bas en face, ils viennent toutes les semaines, s’assoient au même endroit, et toutes les semaines , le lundi c’est le même rituel .Elle défait son tricot , je crois que c’est toujours le même, il lit, elle boit son thé et ils ne vont pas tarder à se lever pour distribuer le pain aux canards. Elle va le sortir de son sac Mary Poppins. Ensuite ils se prendront la main et s’en iront vers  l' entrée sud.
    - Vraiment tous les lundis ? Un sac Mary Poppins ?Tu as remarqué çà depuis longtemps ?
    - Oui, répond elle en lui souriant, depuis que nous même sommes devenus très ritualistes depuis que nous courrons ensemble
    -Ritualistes, nous ?
    -Vadim tous les lundi matin tôt nous venons faire notre jogging ensemble, et tous les lundis nous nous reposons sur ce même banc avant de rentrer
    Oh mon Dieu, s’écrit Isabelle en se levant précipitamment et traversant rapidement l’allée pour se diriger vers le point d’eau.
    Vadim surprit se lance à ses trousses, Isabelle est déjà près d’elle, le petit grand père agenouillé tente de relever sa femme.
    - Vadim vite appelle les pompiers
    La grand-mère balbutie quelques mots incompréhensibles.
    Son mari la rassure d’un ton apaisant, puis se tournant vers les jeunes gens
    - Non pas les pompiers elle va aller mieux dans quelques secondes
    - Mais si, il faut aller à l’hôpital
    Vadim hésite regarde le couple et Isabelle ne sachant plus que faire
    - Non merci mademoiselle pour votre sollicitude mais j’ai l’habitude. De toute façon il n’y a rien à faire et Mathilde ne veut pas retourner à hôpital.
    Isabelle le regarde interloquée. Elle lit du chagrin dans les yeux bleus pales du vieil homme et elle comprend.
    - D’accord mais nous allons vous accompagner chez vous. Vadim va chercher la voiture s’il te plait. Puis se tournant vers le petit grand père : J’insiste
    Le petit papy fatigué se laisse convaincre et leur donne leur adresse personnelle.

    ©MBCRéas
     
     

    Atelier de Ghislaine

     
     

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