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Bonjour tout le monde
je viens vous donner un peu de mes nouvelles et en prendre par la même occasion
D'abord je constate qu'eklablog n’envoie plus nos newletters de façon automatique
quel dommage !
de fait je ne sais plus si Ghislaine continu son atelier d' Ecriture
Violette as tu demenagé dans le sud ?
Bon j'ai quelques nouvelles de Christine qui abandonne le jeu
et va fermer son blog dommage
elle pense que trouver l’anagramme est compliqué et c'est pourquoi nous avons beaucoup de défection
Perso je ne dis pas que je ne le reprendrais pas
mais pour l'heure
je suis crevée, les préparatifs du déménagement sont enfin terminés et tous les déboires des travaux résolus, je rend bientôt mon tablier de chef des travaux
Plus que 2 petits jours de gros boulot, mon bureau est presque rangé,lundi mardi on mute ensuite, il me faudra attaquer les évaluations des agents les plannings de juillet et aout avant que je parte enfin en vacances
pas de grands projets cette année
(le Canada l'an dernier des photos sur Overblog )
sauf farniente, plage, lecture
j'ai besoin de décompresser en ne faisant rien
pour ce pas besoin d'aller très loin
9 commentaires -
Pas de mot cette semaine
Les blogs sont très au ralenti et les participations rares
je vous avoue que j'ai beaucoup de mal moi même
de toute façon j'attaque une période ardue au boulot :
un déménagement géographique de nos locaux
et oui même à l’hôpital çà arrive
et comme je suis la cadre j en assume l'organisation
Après m’être désespérée pour les travaux en avoir été le contrôleur (grr)
je vous passe les déboires quotidiens !
il me faut préparer les cartons
A quoi s'ajoute l'évaluation des agents et toutes sortes de maudites réunions réplétives dans lesquelles le maitre mot est ÉCONOMIE
AH tien j'aurais pu le coller celui la : mot ancien et toujours d'acutalité
Bref tout ceci pour vous dire que mes heures sur la blogosphère sont comptées
Le beau temps se met de la partie et je dois avouer qu'après me retrouver enfermée 10 h par jour j'aspire à prendre l'air
7 commentaires -
Episode 7
Stéphane rejoint l’équipe toute occupée quelques pas de la. Un cordon de sécurité délimite le périmètre en bordure de foret. Un jeune policier en uniforme le heurte manifestement pressé d’en sortir. Il ne peut aller plus loin que le trottoir, il s’accoude contre le mur d’un bâtiment Stéphane s’approche, le jeune homme est blême et émet de curieux borborygmes. Gêné le jeune policier tente de se reprendre mais le spectacle qu’il vient de découvrir vient de violemment le remuer Pris par un violent haut le cœur qu’il ne peut contrôler il se met à vomir son petit déjeuner. Stéphane lui tapote doucement l’épaule en signe de réconfort. Il soupire pressentant une très mauvaise découverte. A cet instant Laurie sort de l’obombre émergeant ainsi au bord du trottoir. Elle cligne les yeux, surprise par ce passage soudain de l’ombre à la lumière et chausse ses lunettes de soleil. Sa tenue est sobre une paire de jeans noirs et une chemise blanche sous un blouson de cuir noir également, des baskets Adidas blancs. Une tenue confortable, toutefois Laurie reste féminine., Elle est d’une grande beauté et les hommes se retournent souvent sur son passage, bavant sur celle qu’ils voient comme une petite bombe Son caractère gai et enjoué en fait une coéquipière agréable que beaucoup lui envient, Stéphane l’apprécie pour ces qualités là , plutôt que pour sa superbe plastique. Stéphane s’élance vers elle et lui tapote le bras, elle ne l’a pas vu toute à ses sombres pensées.
- Et bien c’est quoi cet air morose ma belle ?
Laurie sursaute, et se retourne vers son coéquipier.
- Morose ? Tu me trouves morose ? Vraiment Stéf je suis tout sauf morose. Vas donc rejoindre le capitaine Frilendier sous les ormes là bas et quand tu reviendras on parlera de Ton humeur. ! Mais où t’étais, bon sang pour mettre tout ce temps à venir !
- J’étais pris dans un embouteillage répond il en baissant les yeux comme un enfant pris en faute. Il ne souhaite pas discuter avec Laurie de sa décision, elle le prendrait pour un idiot et lui passerait un savon, ne comprenant pas qu’il fasse le chaperon pour une mineure qui plus est.
- Allez vas y je t’attends ici, vraiment je ne me sens pas d’y retourner.
- Vraiment à ce point ?
- Oui lance Laurie dans un souffle
Intrigué Stéphane hausse les sourcils et se dirige vers la scène du crime.
©MBCRéas
4 commentaires -
Coucou les courageux on continue ?
m r g o b o y b e r s
Ce n'est pas un mot rare mais moyennement usité
5 commentaires -
je rajouterais les autres au fur et à mesure de l'arrivée des liens
Bon dimanche il fait très beau et je vais profiter de cette dernière journée de repos
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