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    Pour atelier d' Asphodèle

     

     Les mots

    Projet, dimanche, emmerdement,  penser, intimité, hésiter, oppresser, pluie, savoir, morosité, panne, créatif, silence, bâiller,  fatigue, mourir, soupir, ralenti, routine, figé, vide et whisky, xyste, zigzaguer.

     

     

      

    Cette fête familiale annuelle, rien que d’y penser je me sens toute oppressée.Ces journées sont d’une morosité angoissante Paul sirotera son whisky, sera rapidement fin saoul et s’en ira zigzaguant le long de la xyste.Comme lorsque chacune de ses réunions dominicales, Tante Hortense sonnera le clairon et tous partiront battre la campagne.Je sais d’avance qu’il sera retrouvé ivre mort dans la grange

    Toute la famille fait semblant  de ne rien voir, mais tout le monde sait que cet alcoolique mondain, quand il s’agit de s’abreuver de ses douces boissons alcoolisées, trouve le moyen d’être on ne peut plus créatif et que le tonneau rouge est sa cachette favorite pour planquer sa bibine.

    Je me demande d’ailleurs pourquoi ils errent à travers champs en hurlant son nom, un jeu assurément, tout le monde connait sa cachette !

    Bref je m’en vais périr d 'ennui.

    Pitie comment échapper à cette corvée. 10 ans ! Tous les premiers Mai, je subis cette routine mortelle.

    Je pourrais faire croire que je n’ai point reçu l’invitation.

    Non, Maman m’a contacté en personne la semaine dernière !

    Si je simulais une panne d’oreiller ? Je raterais le diner.

    Encore moins crédible, je ne suis pas une lève tard  Même le dimanche je suis réveillée à l'aube. Maman me harcèlera au téléphone jusqu'à ce que je me présente ventre à terre. Oui je sais je n’ai qu’à l’éteindre Mais tu connais maman sa vengeance sera terrible et je culpabiliserais

    Je pourrais simuler un malaise pendant l’apéritif peut être ?

    Jouer la carte de la grande fatigue. Tu me ramènerais illico.

    Non plus, maman lit en moi comme dans un livre et je suis très mauvaise comédienne, elle me confondra d’un seul de ses regards.

    Soupirs

    Non désespérante et intolérable situation.

    Je préfèrerais passer ce weekend end avec toi en toute intimité, je rendrais cette journée inoubliable, ils annoncent la pluie qui plus est.

    Pitié je veux rester avec toi sous la couette, je me pense capable de toutes les folies

    Chez Hortense tout est si figé, mondain. Supporter ces vieux rabats joies catatoniques qui vont ressasser le passé pendant des heures, les conversations à sens unique, non vraiment c’est désormais au dessus de mes forces. J’en baille déjà aux corneilles.

    Oncle Arnaud et oncle Gilles sont sourds comme des pots, quand à grand Manette elle évolue dans sa sphère temporo- spatiale et nul ne peut l’atteindre. Les mots s’envolent sans jamais lui parvenir. J’hésite à le dire, avec son air évanescent et ses yeux vides, elle m’effraie un peu, c’est comme si son âme se trouvait piégée en son corps décati.

    Savoir que j’aurais pour voisine Tatie Lucinette, qui va retirer son dentier pour le remettre en fin de repas berk !

    . Silence

    Tu m écoutes Vadim ? Mon projet pour nous défiler ne te séduit pas ? Trouve une idée lumineuse.

    - Grandis Isabelle, si tu ne veux pas y aller tu assumes ton choix. Inutile d’inventer mille excuses

    ©MBCRéas

     

    Entre deux

     

     

      

     


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  • On a beau mener le bœuf à l’eau, s’il n’a pas soif… (Se dit d’une personne entêtée)

     

    On a la chance qu’on se fait (chance liée à nos actes – on construit son propre avenir)

     

    On donna des yeux à un aveugle et il se mit à demander les sourcils (Se dit d’un homme insatiable)

     

     

    Rose ne cessait de répéter à Lucille qu’on a que la chance qu’on se fait, celle butée ne voulait rien entendre

    Rose la tannait depuis jours mais elle avait beau y faire, elle ne pouvait mener le bœuf a l’eau s il n a pas soif !

    En fait Lucille riait sous cape, amusée par l’acharnement de son amie, et de toute façon elle ne souhaitait pour l instant rien lui révéler.

    Son amitié toute neuve avec Max se révélait être un vrai bonheur, mais connaissant que trop bien son amie, il ne valait mieux rien dire car comme le dit le proverbe si tu donnes des yeux a un aveugle, il se mettra à demander des sourcils. Elle ne savait donc que trop ce qui arriverait.

    Depuis l’accord passé avec Max lors de fameuse fête, ils avaient joué tous 2 avec Rose, Lucille se sentait un peu coupable parfois, mais après tout elle l’avait bien cherché, parfois son besoin de voir son entourage heureux lui faisait dépasser les limites et faisait preuve d’ingérence dans la vie des autres.

    Mais Lucille lui était toutefois infiniment reconnaissante car sans elle Dieu sait ce qui aurait pu lui arriver.

    Quand à Max, il vénérait Rose tout autant mais ne le reconnaitrait jamais devant elle

    Elle serait impossible alors et eux totalement à sa merci.

    Mais Rose déjà, concoctait un nouveau plan en son for intérieur, cette diablesse possédait plus d’une corde à son arc, elle avait décrété que Max et Isabelle étaient fait l’un pour l’autre et elle s appliquerait pour que cela soit ainsi. Point.

    Son doux et discret époux tentait de la calmer mais rien n’y faisait, n’étaient ils pas la preuve vivante du couple parfaitement assorti et fruit d’une rencontre programmée par leurs amis communs ?

    Thomas ne le niait pas au contraire, il bénissait tous les jours son frère Henry , par qui cette rencontre fut possible. Et malgré que Rose et lui soient si dissemblables, ils s’aimaient passionnément. Cette femme fantasque était toute sa vie, et sa vie sans elle serait impossible, pour elle, capable de 1000 folies

    Toutefois il tentait désespérément de lui faire comprendre que ces êtres qu’elle voulait voir ensemble se trouvaient être encore trop blessés pour une aventure sentimentale, trop effrayés par la crainte de saigner encore.

    Bêtises que tout cela lançait Rose.

    - Lucille n’a que trop attendu et Max ne va pas nous faire un fromage pour une petite peste qui ne le méritait pas.

    Thomas soupira, Rose ne démordrait pas, de toute façon elle n’avait nul besoin de lui Isabelle et Vadim arrivaient demain, Ils seraient des bien meilleurs alliés que lui.  

     

    ©MBCRéas

     

    Entremetteuse

     


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    Pour Violette

     

    On a beau mener le bœuf à l’eau, s’il n’a pas soif… (Se dit d’une personne entêtée)

     

    On a la chance qu’on se fait (chance liée à nos actes – on construit son propre avenir)

     

    On donna des yeux à un aveugle et il se mit à demander les sourcils (Se dit d’un homme insatiable)

     

    Métaphores en

     

     

     

    Rose ne cessait de répéter à Lucille qu’on a que la chance qu’on se fait, cette butée ne voulait rien entendre

    Rose la tannait depuis des jours mais elle avait beau y faire, elle ne pouvait mener le bœuf a l’eau s il n a pas soif !

    En fait Lucille riait sous cape, amusée par l’acharnement de son amie, et de toute façon elle ne souhaitait pour l instant rien lui révéler.

    Son amitié toute neuve avec Max se révélait être un vrai bonheur, mais connaissant que trop bien son amie, il ne valait mieux rien dire car comme le dit le proverbe si tu donnes des yeux a un aveugle, il se mettra à demander des sourcils. Elle ne savait donc que trop ce qui arriverait.

    Depuis l’accord passé avec Max lors de fameuse fête, ils avaient joué tous 2 avec Rose, Lucille se sentait un peu coupable parfois, mais après tout elle l’avait bien cherché, parfois son besoin de voir son entourage heureux lui faisait dépasser les limites et faisait preuve d’ingérence dans la vie des autres.

    Mais Lucille lui était toutefois infiniment reconnaissante car sans elle Dieu sait ce qui aurait pu lui arriver.

    Quand à Max, il vénérait Rose tout autant mais ne le reconnaitrait jamais devant elle

    Elle serait impossible alors et eux totalement à sa merci.

    Mais Rose déjà, concoctait un nouveau plan en son for intérieur, cette diablesse possédait plus d’une corde à son arc, elle avait décrété que Max et Isabelle étaient fait l’un pour l’autre et elle s appliquerait pour que cela soit ainsi. Point.

    Son doux et discret époux tentait de la calmer mais rien n’y faisait, n’étaient ils pas la preuve vivante du couple parfaitement assorti et fruit d’une rencontre programmée par leurs amis communs ?

    Thomas ne le niait pas au contraire, il bénissait tous les jours son frère Henry , par qui cette rencontre fut possible. Et malgré que Rose et lui soient si dissemblables, ils s’aimaient passionnément. Cette femme fantasque était toute sa vie, et sa vie sans elle serait impossible, pour elle, capable de 1000 folies

    Toutefois il tentait désespérément de lui faire comprendre que ces êtres qu’elle voulait voir ensemble se trouvaient être encore trop blessés pour une aventure sentimentale, trop effrayés par la crainte de saigner encore.

    Bêtises que tout cela lançait Rose.

    - Lucille n’a que trop attendu et Max ne va pas nous faire un fromage pour une petite peste qui ne le méritait pas.

    Thomas soupira, Rose ne démordrait pas, de toute façon elle n’avait nul besoin de lui Isabelle et Vadim arrivaient demain, Ils seraient des bien meilleurs alliés que lui.  

     

    ©MBCRéas

     

    Métaphores en

     


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    Chez Violette

     Comme j'ai raté le coche la semaine dernière mais que j'aime beaucoup ce jour j'ai fait un texte avec les mots cherchés B et C

     

     

    Mes mots :

     

    Badauder    Perdre le temps à regarder avec une curiosité niaise tout ce qui semble extraordinaire ou nouveau.

    Baguenauder S'amuser à des choses vaines et frivoles, comme les enfants qui font claquer des baguenaudes en les crevant. Il ne fait que baguenauder.

    Baïoque

     ·   Petite monnaie des États romains, qui vaut un peu plus de cinqcentimes de France. L'écu de cent baïoques vaut cinqfrancstrente-huit centimes et demi.

    ·    Fête solennelle chez les Turcs, à la fin du Ramadan, qui est le temps de leur jeûne.


    Balaustier : grenadier sauvage

     

    Balsamier : arbre qui donne du baume

     

    Barcarolle :  chanson du peuple

    Cadis : 

      Sorte de serge de laine, de bas prix.

     

    Cadole : Nom que les serruriers donnent au loquet d'une porte, ou à une espèce de pêne qui s'ouvre et se ferme en se haussant, avec un bouton ou une coquille

    et aussi anciennes cabanes, souvent en pierres sèches, des vignobles de l'Aube et de Bourgogne du Sud, et plus particulièrement du Beaujolais. Dans les Monts d'Or, on emploie toutefois cabane et caborne.

     

    Cagnardise  fainéantise

    Cafetan Robe de distinction en usage chez les Turcs. Le GrandSeigneur envoie des cafetans aux personnes qu'il veut honorer, et surtout aux ambassadeurs et à ceux qui paraissent à son audience.

      

    Cagnarder vivre dans la paresse

    Caillot rosat poire au gout de rose

     

     

    Caïmacan  lieutenant du grand vizir

    Calamistrer Friser les cheveux et les mettre en boucles.

    Canamelle ancien nom de la  canne a sucre

       

    Cariatide    Figure de femme, ou même d'homme, qui soutient une corniche sur sa tête. Les cariatides sont un ornement d'architecture.

     

      

    Cascatelle Mot emprunté de l'italien, qui signifie, Petite cascade. On ne l'emploie guère que dans cette phrase, Les cascatelles de Tivoli.

    Images du net

     

     

    Les mots en B et C

     

     

    Ils prenaient le temps de badegauber, la nature était splendide en cette saison

    Ils, croisèrent une paysanne, vêtue dune robe de cadis et portant un panier d'osier sur sa tète,

    Un tablier rouge vif ceignait ses hanches étroites, elle avançait nonchalamment d’une démarche chaloupée et chantonnant une barcarolle.

    A l auberge le vieil hôtelier les avaient prévenu, ici les autochtones adoraient badauder et passaient plus de temps à cagnarder que de récolter le caillot rosat

    Sur il suffisait d’ attendre plutôt que de les cueillir sur les arbres ,Apres un jour de bien grand vent elles tombaient toutes seules On pouvait en acheter au marché local pour quelques baïoques , il fallait absolument gouter ses poires au gout de rose , cadeau des Dieux.

    S ils empruntaient la route du bas, celle qui longeait la corniche (ils n avaient pas peur du vide au moins? Ils pourraient découvrir des balsamiers couchés par le vent et aux formes biscornues et gouter aux canamelles ( les enfants leur offriraient volontiers ils passaient toutes leur journée a bavasser   dans ce coin , peut être même pourraient voir les plus téméraires plonger du rocher de Kylos, ce promontoire naturel attirait les plus téméraires gamins ) Pour le retour il leur conseillait de revenir par la route des cascatelles

    - Comme il fait encore chaud vous pourrez faire trempette, vous reposer à l ombre des

    balaustiers, mais pas en manger les fruits, pour çà il faudra revenir en septembre.

    Vous pourrez aussi poser une question Cassiope en veille sur cet endroit depuis des siècles

     

    Une veille légende raconte que Heliandre amoureux fou de Cassiope y pleura   de chagrin pendant des jours et des lunes tant et si bien que vu l’abondance de ces larmes, une petite cascade s y forma. Sa dulcinée Cassiopée atteinte dune maladie incurable dépérissait de jour en jour, et rien, aucune prière n’atteignait les cœurs de pierre des Dieux

    Finalement ému par cette détresse et convaincu que leur amour survivrait au delà des frontières de la mort ,que ces deux pauvres humains s’avéraient êtres des âmes sœurs, les deux moitié de la pomme , Hélianthos jeune Dieu de l’eau intercéda auprès du grand maitre et Cassiopee survécut à sa maladie mortelle.

    Depuis ce jour la cascatelle coule sans discontinuer même les jours de grande sécheresse et tous les amoureux y reçoivent le signe qui confirme leur complémentarité, que leur amour est eternel rien, et rien ne pourra jamais briser l’union de leurs âmes unies à jamais

    Nombreux couples y viennent en pèlerinage déposer des offrandes au petit temple érigé en souvenir des amants avec des cariatides bien conservé datant du XIX représentant Heliandre et Cassiope , on dit que si l’amour porté l’un à l’autre se trouvait exceptionnel , les amants de la cascatelle se manifestaient à vous. Mais il y a bien longtemps que ce n’était plus arrivé

    Isabelle et Vadim souriaient en écoutant cette histoire, rêves et légendes perduraient longtemps dans les coins reculés de la planète.

     

    Ce soir ils pourraient dîner au village c’était la graine fête des moissons, Feu de joie, danses folkloriques …

    Des jeunes hommes porteront le cafetan pour cette pièce de théâtre jouant le caïmacan, les femmes calamistreront leurs cheveux et s’habilleront de jupes en cotonnade d’un rouge flamboyant, les plus belles femmes de  l'ile .Une fête jusqu'au bout de la nuit

    La porte ne sera pas fermée à clef quand ils rentreront, il faudra juste bien tirer sur la cadole, elle coince un peu parfois , il  n’y aura p1s de couvre feu et en passant par la cuisine ils pourront récupérer de la citronnade maison et des baklavas. Ma femme ,la meilleure pâtissière de tout le pays.

    Bonne journée les amoureux et fasse que vous rencontriez Héliantos et Cassiope.

     

    ©MBCRéas

     

    Les mots en B et C

     

     


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  • Enfin une éclaircie, il pleuvait depuis des jours sans discontinuer,

    La, pelouse détrempée chuintait sous le, poids de leur bottes.

    La maison avait pris l’eau de toutes parts. Les violentes rafales de vent avaient eu raison de la fragilité de la porte d'entrée, tout était dévasté.

    Le lambris du hall d’entrée se détachait par endroits.la tapisserie était détrempée, les meubles éventrés.

    Isabelle l’air misérable contemplait abasourdie les dégâts

    Elle en trembla de tous ses membres devant l’étendue du carnage .Blême elle réalise que la maison de son enfance est perdue à jamais, malgré tous les travaux de rénovation qui s’avèrent nécessaire, elle perdra son âme. Les larmes de colère l’envahissent.

    Personne ne peut lutter contre la nature déchaînée, personne n’est à blâmer.

    L'escalier menant à l’étage est jonché des feuilles de l’érable, et de                                                                 vaisselle fracassée, un fatras de mille objets, témoignage de la violence de la tempête, De la superbe baie vitrée du salon, sa pièce préférée de la maison, la plus claire par sa positon stratégique face à l océan il ne reste que des débris épars.

    A l’étage elle, entend les volets claquer au vent, il faiblit à peine

    Elle éclate de rire, pourtant il n’y a rien de risible d’ailleurs, et le rimmel dégouline sur ses joues tels des noirs petits ruisseaux, car elle pleure toujours.

    Inquiet Vadim, s approche d’elle.

    Elle le repousse d’un geste de la main, tourne les talons, elle veut être seule un instant

    D’un pas décidé, elle se dirige ver l’océan. L’eau est d’un vert ambré.

    Les grandes marées sont terminées, sur la plage des traces de leur passage, des troncs d arbres énormes sont léchés par les vagues encore fortes aujourd’hui,

    Elles se brisent sur les rochers en bout de plage, le vent humide souffle, un soleil timide tente de percer le bout de son nez,

    Elle s’assoit sur l'un des troncs abandonnés et contemple la ligne d’horizon, des goélands d’ un battement d ailes s éloignent dans le ciel toujours parsemé de gros nuages noirs,

    Non elle ne rendra pas les armes, non cette maison tant aimée retrouvera son faste, elle sera toujours son asile, elle y retrouvera ses aires de jeux .Après tout c’est un miracle quelle soit encore debout.

    Non la nature ne vaincra pas, elle fera ce qui faudra, pour Sa maison. Elle essuie d’un revers de main ses larmes, se lève, secoue le sable accroché à de son pantalon, pour rejoindre Vadim. Lorsqu’elle se retourne, elle le trouve là au bord de la plage, les mains engoncées dans les poches de son cardigan bleu marine.Dans son regard bleu acier, elle y lit de l’inquiétude, mais il attend patiemment.

    Elle sourit, comme elle aime cet homme qui comprend ses besoins de solitude, accepte ses sautes d’humeurs, la comprend mieux encore quelle même, et possède cette patience d’ange comme personne d’autre.

    Elle se jette à son cou et l’embrasse fougueusement Isa est persuadée en son for intérieur que leur amour est immarcescible

    - Allons nous en, les éclairs sont sur la, mer, l’orage gronde, il va pleuvoir et on ne peut rien faire pour l’instant, je vais contacter l'assurance pour une expertise, ensuite on attaquera les travaux

     

    ©MBCRéas

     


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