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    Coucou tout le monde

     

    je viens vous donner quelques nouvelles

    j'ai posé ma plume , pas vraiment l'inspiration  , mais surtout un manque de temps, quelques soucis aussi.

    J'avais pris à ce jour tous les défis mais je n'ai rien écrit et pas eu le temps non plus de passer vous voir

    Je me suis contentée de facilité, lecture, lecture et quelques chroniques sur mon blog lecture et quelques créas aussi.

    je pense que je reprendrais  la plume plutôt courant février, et peut être je reviendrais sur les défis  passés, enfin on verra

    En attendant , mais je vais tacher de passer sur vos blogs

    Gros bisous à tous et toutes et je vous envoie mes meilleurs vœux pour l'année à venir

    Amicales pensées

     

    HELLO

     

     

     

     


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  • Aujourd'hui petit medley

    Un épisode pour deux ateliers

    9 LETTRES : pour Veloutine et ses mots dérivés :

    Léone, lutin ,lèvent,veloutine, violet, veinule,voutée, velouté,envoute,éveil, étole,voilé

    chez Lady Marianne

    et l'atelier image de chez Bricabook

     

    © Kot

     

     

    Alain Léone, visage de lutin, à l’allure dégingandée, étudiant en dernière année de droit à la Sorbonne, un de ses lèvent tot, surprenant pour un jeune homme de son âge, s’enflammait davantage pour la photographie que ses études forcées. C’est ce qu’il explique aux deux enquêteurs, alors qu’ils font route vers son domicile.
    Il s’emballe tant qu’une petite veinule pulse au creux de son cou, remarque Laurie, qui dévisage inconsciemment cet étrange jeune homme, au look interpellant. Pantalon de veloutine violet sombre, chemise d’un blanc immaculé à jabot, sous un gilet noir, à ses pieds des godillots à lacets Autour de son cou un appareil photo qui doit coûter un bras, se dit Laurie in petto, bien qu’elle ne connaisse rien dans se domaine. Un mélange de modernité et de passé, loin des styles gothiques ou hipster, dernière tendance, entre autres, que l’on s’attend à voir adopter par un jeune homme d’une vingtaine d’années. Alain, c’est évident ne passe inaperçu, dans ce look très anticonformiste, qui se veut être le reflet de sa personnalité. Son regard noir velouté, envoute, se surprend à songer Laurie tandis qu’à son tour le jeune homme la fixe.
    La station de métro est plutôt déserte à cette heure, ils sont donc installés sur les places vacantes sur lesquelles ils se sont glissés, en grimpant dans la rame de métro, Stéphane, en face consulte son téléphone, Alain est assis à droite, tout près d’elle et la dévisage en souriant. Gênée elle détourne le regard, vers les autres passagers. Installée pas très loin, une petite grand-mère voutée, emmitouflée dans une étole grise totalement dévalée, tous ses sens en éveil, lance des regards inquiets autour d’elle, peut être s’est elle trouvée agressée, songe Laurie, ce qui expliquerait son comportement. A coté d’elle, une jeune femme, au regard voilé, comme empli de larmes juste taries, fixe le vide de ses yeux tristes.
    Alain la surprend en se penchant vers elle, ajustant son objectif, et lui murmurant :
    -Vous me semblez très observatrice, vous feriez une excellente photographe. Je devine que vous observez les gens autour de vous, et que vous leur créez des vies, un talent surement en lien avec votre métier. Regardez cet homme qui lit juste en face.
    Laurie tourne son regard vers le vieil homme assis près de Stéphane. Jean délavé et usé, des baskets en toile bleu marine, un caban noir élimé, un visage buriné par le soleil, ancien marin peut être, venu s’échouer dans la capitale ?
    - Regardez ses mains, plutôt souffle Alain. Que vous raconte-t-elles ? Rajoute t-après en avoir ajusté sa prise de manière que l’on ne voit que les mains de l’homme et le livre. Ce cliché sera superbe en N&B ajoute-t-il en se levant et s’approchant de l’inconnu au livre pour lui montrer la photo prise et son autorisation de publication.
    Le vieil homme lève les yeux, des yeux extraordinairement clairs, et vifs. Après un bref échange Alain revient s’asseoir prés de Laurie.
    - Alors où en étions nous ?
    - Soit ce n’est pas la première fois qu’il lit ce roman, vu l’état du livre, soit il l’a acheté dans une bourse aux livres, je pencherais pour cette option, il semble avoir de petits moyens financiers vu  de ses vêtements usés.
    - Ou alors, il n’attache pas d’importance à l’apparence, ni aux biens matériels, l’interrompt le jeune homme. Et je penche qu’il aime lire et relire ce roman, il est tout annoté, je l’ai vu quand je lui ais parlé.
    - Si c’est un livre d’occasion, quelqu’un d’autre à pu le faire ?
    - C’est aussi une éventualité. Bricoleur ou pas ? Poursuit Alain
    Laurie se re-concentre sur les mains.
    - Ses mains sont bien soignées, les ongles courts, pas celles d’un homme vraiment manuel, ce qui est en totale contradiction avec le reste de son apparence. Un maladroit peut être qui s’est soit coupé en bricolant ou en cuisinant. Je pencherais pour une petite coupure de cuisine.
    Le jeune excentrique hoche la tête, leurs avis divergent, et trouve ce débat intéressant, chacun voit ce qu’il veut voir, c’est pourquoi il se passionne pour la photographie, les images saisies sur le vif. Ces scènes de vie quotidiennes, chacun peut les interpréter à sa manière, et rien n’est blanc ni noir.
    - La photo que j’ai prise de la jeune fille, je n’ai pu lui demander son accord de diffusion, elle est partie bien trop vite avec le jeune homme qui l’accompagnait.
    - On le voit sur la photo ?
    Alain hoche la tête.
    - Non, j’ai centré ma prise sur elle, mais peut être peut on le voir sur d’autres cliches de ce  jour là. Mais je pourrais vous aider pour un portrait robot, j’ai une excellente mémoire des visages

     

    ©MBCRéas

     

    Episode précedent

     

     

    Atelier Lady Marianne et Bricabook

     

     


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    Ma boite à mots : Mai

    Avec ma binomette

    Straw

    Le défi avec les mots

    BONHEUR ,COEUR, CLOCHETTE ,CUEILLIR, CHANCE, JOLI, BOCAGE, BLANC   BRIN et MAI

    Mon texte

     

    Allons ma mignonne vers ce blanc bocage
    En cette merveilleuse journée de Mai
    Mon cœur ébloui, mon amour en cage
    Dans le creux de vos mains, à nu je me mets

    Une chance, un bonheur, oh ma mie
    M’en vais des brassées cueillir
    Clochettes aux douces effluves, ma Noémie
    Mais c’est surtout mon amour, que je veux offrir

    Ma mie, ma mignonne, ma dame
    Allons danser, fêter ce joli mois de Mai
    Laissez moi en ce jour vous déclamez ma flamme
    Un jour, je raconterais vous avoir follement aimé

    Ah comme il doux ce mois de Mai
    Me voilà capable de milles audaces
    Pour vous je grimperais des sommets
    Pour vous, à tout ferais face

    Pour l’heure ma mie, dans ce bocage
    M’en vais simplement désormais
    Faire un tout petit voyage
    Cueillir, ces clochettes de mai

     

    ©MBCRéas

     

     


    8 commentaires
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    Coucou tout le monde c'est le

    La boite à mot : Mai

     

    qui débute aujourdhui

    voici les mots choisi par les membres de la boite à mots

     

    BONHEUR ,COEUR, CLOCHETTE ,CUEILLIR, CHANCE, JOLI, BOCAGE, BLANC   BRIN et MAI

     

    A vos plumes  pour dimanche , oui je sais je suis à la bourre

    mais  les retardataires seront excusés

    venez nous rejoindre   pour faire de nouvelles rencontres

     

     


    10 commentaires
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    le printemps vu dans Ma boite à mots

     

    Des petits liens  pour découvrir les textes chez les participants

    ma binomette lecture et écriture  Straw

    Le mien

    Colette

    Titelili

    De Patricia dans la boite à mots

    Je passe beaucoup de temps à me reposer, car moncorps est meurtri et fatigué, j’ai la chance de pouvoir admirer le paysage à travers ma fenêtre. Cette année, nous avons eu un hiver pluvieux et venteux. C’est avec une impatience non feinte que je vois s’installer le changement de saison. C’est le moment de mettre le nez dehors, et d’apprécier la douce chaleur du soleil sur sa peau. Je ne peux m’empêcher d’admirer ce paysage verdoyant. Plus je roule avec mon fauteuil et plus je suis émerveillée par ces parterre fleuris et ces parfums enivrants. Que de fleurs prêtent à éclore jalonnent mon parcours, pour l’instant je ne peux qu’examiner avec attention ces nombreux bourgeons, mais la nature change d’aspect. Il suffit de tendre l’oreille pour entendre le chant mélodieux des oiseaux. Pour moi, tout s’illumine, c’est une renaissance. Je ne peux cueillir moi-même ces cerises qui ont l’air savoureuses à souhait, mais je trouverai bien un voisin, ou ami qui fera ce geste pour moi. Nous sommes entourés de choses merveilleuses à nous de savoir les apprécier à leur juste valeur.

     

    ©Pat Pepette

     

    Ghislaine

     

     je rajouterais d'autres liens au fur et à mesure

    le printemps vu dans Ma boite à mots

     


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